Waël a vu le jour au Liban et a grandi en banlieue parisienne. À l’adolescence, il revient à Beyrouth à la fin de la guerre. Issu d’une famille laïque, de gauche, son père originaire de Nabatiyé est artiste peintre; sa mère, Palestinienne, est institutrice. À 15 ans, il se met au rap, en français et en libanais. Avec ses textes revendicateurs et ses musiques inspirées de l’Orient, ce fan de Brassens est, depuis quinze ans, l’un des artistes les plus importants du monde arabe.